LE COUCOU DE MALINES

Il arrive en octobre 2024 !

 »  1957. La querelle linguistique entre Flamands et francophones gronde, alimentée par une campagne pour la réhabilitation des inciviques flamands condamnés à la Libération. 

 Chargé de la filature d’une jeune femme qui vit à Malines, Gertrude, le détective Michel Van Loo, accompagné par son amie Anne, la découvre poignardée dans le hall de sa maison. 

 Une mort apparemment sans mobile. Gertrude est une femme sans ennemis ni famille. Et dont le mari, Théo, a disparu dans les camps à la fin de la guerre. 

 Van Loo découvre qu’enquêter en Flandre est difficile pour un francophone de Bruxelles. Mais il s’entête. Et part à la recherche de son commanditaire, un certain Diego Bloemkool. Est-ce lui qui a fait éliminer Gertrude ? L’homme a mille visages et plusieurs vies, producteur de cinéma, patron d’une agence de bodyguard, mais pas d’adresse. Il fricote aussi avec un personnage, également inquiétant, grand amateur des peintres flamands du début du siècle.  

Cette enquête qui se déroule au milieu des convulsions politiques qui secouent la Flandre à la fin des années cinquante a aussi une odeur de peinture… « 

DECOUVRIR LE CHAPITRE 1 DU COUCOU DE MALINES

CLANDESTINE – ELLE ARRIVE EN FEVRIER

Qui est Iulia ?
Un beau matin de 2005, cette jeune Russe débarque dans le cabinet d’un avocat bruxellois, Me Cyrille Biederman, qui ne croit pas un mot de son histoire.

Elle serait russe, traquée par Poutine, échappée d’un centre de détention à Bruxelles et piégée dans un scandale politico-sexuel à Moscou.

CLANDESTINE est un roman d’espionnage dans la nouvelle Russie, belliqueuse et énigmatique. Mi-roman politique, mi-burlesque, mi-suspense, cette CLANDESTINE secoue, intrigue et fait rire.

En exclusivité, découvrez en le premier chapitre.

FILIGRANES / FEVRIER-MARS 2021

Alain BERENBOOM dédicace « en life » sa nouvelle enquête de Michel Van Loo, détective privé, MICHEL VAN LOO DISPARAÎT.

Chez FILIGRANES – 39, avenue des Arts-Bruxelles (près place Madou) :

  • mercredi 24 février dès 17h30
  • dimanche 14 mars à partir de 15 h

Entretemps, découvrez une récente interview d’Alain Berenboom par Jean-Baptiste Baronian

PARUTION LE 9 MARS 2018

EXPO58, L’ESPION PERD LA BOULE

Avril 1958. L’exposition universelle de Bruxelles est sur le point d’ouvrir ses portes. L’événement va bousculer une Belgique assoupie. En pleine Guerre froide, il doit aussi contribuer à atténuer le conflit entre Occident et Russie soviétique.

Pendant d’interminables mois, le gigantesque chantier du Heysel a aiguisé tous les appétits. L’assassinat d’un chef de chantier puis l’explosion d’une bombe devant le pavillon américain mettent police et services secrets sur les dents. Michel Van Loo est appelé à jouer le sous-marin pour compte du ministère belge de l’Intérieur. Pendant que sa fiancée prépare Annie Cordy pour son nouveau film, le détective privé se fait aider par ses comparses de toujours : le coiffeur Federico, les frères Motta et le pharmacien Hubert.

Après Périls en ce royaume, Le roi du Congo, La recette du pigeon à l’italienne et La Fortune Gutmeyer, Alain Berenboom dresse ici avec l’humour dévastateur qui lui est coutumier un nouveau portrait de la Belgique de l’époque.

MR OPTIMISTE

OCTOBRE 2013: PARUTION DU NOUVEAU LIVRE d’Alain BERENBOOM

optimiste

À la mort de ses parents, le narrateur décide de ranger, non sans réticence, les archives familiales empilées depuis des lustres dans une armoire. Vieilles lettres de famille en plonais et en yiddish, formulaires divers, reçus d’administrations disparues. Il redoute ce travail fastidieux, persuadé que son père, un petit pharmacien de quartier, a eu une vie « sans histoires ». Or, au fil des découvertes, se dessine le portrait d’un Don Quichotte original et aventureux.

Parti de son shtetl de Pologne, il arrive à Liège, à la fin des années vingt, pour étudier la pharmacie. Comme il ne parle pas français, il trouve le job idéal auprès d’un prestidigitateur à la recherche d’un « étranger » prêt à monter sur scène à chaque représentation pour confirmer au public que la femme à couper en deux est bien dans son écrin. C’est ainsi que commence la vie en Belgique de Monsieur Optimiste.

Pendant ce temps, Rebecca, sa future femme arrive de Vilnius à la fin des années trente. Lorsqu’elle rencontre Mr Optimiste dans une pharmacie de Bruxelles, c’est le coup de foudre. Ils se marient et aussitôt, la guerre éclate…

Sous couvert de divers patronymes, Mr Optimiste va surmonter bien des épreuves, de son voyage de noces sous les bombardements à Boulogne-sur-Mer, à une amitié imprudente avec un Allemand qui se révèle espion du iiie Reich. De la perte de sa soeur cadette dans le ghetto de Varsovie à la clandestinité. Il lui faudra aussi déployer beaucoup d’imagination pour échapper aux nazis ou, ensuite, à la Sûreté de l’État, à l’affût de ses amitiés communistes.

Mauvais juif [mais lecteur assidu de la Bible], sollicité par sa mère de revenir en Pologne mais tenté de vivre  en Israël tout en se montrant défenseur inconditionnel de son pays d’accueil, concocteur de remèdes magiques pour  hommes, femmes et pigeons. Voilà quelques-unes des facettes contradictoires de cet indéfectible optimiste.

À travers ce récit, tantôt burlesque, tantôt poignant et nostalgique, inspiré de la vie du père de l’auteur, c’est bien sûr l’Histoire du xxe siècle qui se dessine en filigranes mais c’est surtout pour l’auteur, une façon de tendre la main à ses origines et de cerner sa propre identité.